d'une bonne raison d'avoir peur.
Suitom, mon barbare, n'avait peur que de deux choses :
- les morts-vivants ("un mort, ça doit pas se relever, sinon c'est que c'est pas assez mort !")
- les fées ("Mais non, y a un "e" au bout, alors on dit "féheu", pas "fé". faut tout leur apprendre à ceux-là")
Le groupe arrive dans une grande salle, avec une seule porte en bois à l'autre extrémité.
A peine rentré dans la salle, des dizaines de zombis, goules ou je ne sais quoi, se lèvent dans la salle.
Moi : Des morts ? Je me casse !
MJ : Tu te barres où ?
Moi : Ben je sais pas, de là où on vient, c'est praticable ?
MJ : nan, y a des goules qui bloquent le passage
Moi : et vers la porte ?
MJ : ben ça commence à se relever aussi, mais t'as ptet le temps d'y aller.
Moi : Ok, j'y vais, et je traverse la porte.
MJ (sourire sadique): Ok, quand tu arrives devant la porte, tu te rends compte qu'elle est fermée à...
Moi (sourire angélique): attends, j'ai jamais dit "j'ouvre la porte", j'ai dit "je TRAVERSE la porte". Tu crois vraiment que je vais perdre mon temps à ouvrir une porte avec des MORTS-VIVANTS au train ???
MJ (sans sourire du coup) : ok, fait moi un jet de force.
Moi : 19 naturel ! Ah, ah, tu vas subir, porte du démon !
MJ (une larme à l'oeil) : La porte vole en éclat, derrière tu vois un petit vieux en train de parler dans une langue que tu ne comprend pas et d'agiter les bras. Il y a un squelette à coté de lui.
Moi : quoi ? Le petit vieux il est vivant ?
MJ (qui commence à déprimer) : oui.
Moi : C'est pas normal ça, un petit vieux au milieu des morts. Je le défonce.
Outch, critique. Dommage petit vieux.
MJ (effondré) : enfoiré, c'était mon boss.
Les goules devaient vous retenir le temps qu'il se lance 3 ou 4 sorts dessus, et là vous en auriez chié.