Le profil du rôliste : Cyberj

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le newbie

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Le bandit manchot

2003

Début d'une campagne officielle de D&D3: La citadelle des ténèbres.
L'aventure commence au bord d'un gouffre qui mène à l'entrée de la citadelle. Je descends à la corde et j'échoue mon jet d'équilibre sur la fin. Je me vautre lamantablement mais je suis presque indemne (quelques points de dégats temporaires).

Soudain, je suis attaqué par des rats, attaque d'opportunité oblige, l'un deux saute et m'attrape la main, le prêtre arrive en vitesse et l'arrache.

Une partie de ma main est rongée et l'un des petits os de ma main est parti avec le rat. Le prêtre tente de soigner la blessure en replaçant l'os à sa place et lançant un sort de soins. Il fait un échec critique sur son jet de connaissance d'anathomie.

Et voilà comment mon voleur se retrouve avec un malus de -3 à tous les jets effectués avec sa main directrice dès le niveau 1.

Les histoires qu'il a partagé ici :

Ça c'est du jet...

Une partie se lance : rappel de l'histoire, ambiance, lumière, description des lieux, intrigue, suspense, premier jet : « Lance un D100 » - La joueuse lance ses 2 dés, les observe longuement et déclare toute fière et avec un sérieux désarmant : « 403 »...

Je ne sais pas si c'était la minute de silence après le jet, la franche rigolade, ou l'explication : « Non, sur un D100 c'est rare de dépasser 100 de manière naturelle » qui fut la plus éprouvante mais franchement... comment voulez vous continuer une partie sérieuse après ça ?

De l'utilisation d'une arbalète

Au début d'un scénario, le groupe est confronté à quelques squelettes, tout le monde besogne même le barde.

Celui-ci, après avoir tiré un carreau avec son arbalète, voit son projectile traverser la cage thoracique de l'archer squelette situé à 8 mètres de lui. Je lui fait comprendre subtilement qu'il va être difficile de le toucher avec ses carreaux, ni d'un coup d'estoc de sa rapière.

Il déclare donc... l'attaquer avec son arbalète ! Esquissant un sourire, et quelques jets plus tard je lui décris son personnage en train de charger son arme :

« Comment ça charger? Je la charge pas et je lui balance dessus c'est tout ! »

Et c'est ainsi que par la magie d'un jet de dés critique, une boite crânienne fût défoncée. Le barde elfe gagna ainsi, au prix d'un peu de crédibilité, un bel arc pour remplacer sa defunte.