Chronique d'aventures partie 1
Au cours d'une aventure dans la ville de Pointesable, nous avions le groupe suivant (juste au cas où d'autres histoires sympathiques arriveraient.)
Mon personnage, Desba magicienne humaine Shoanti (des tribus nomades, en mauvais termes avec les sheliaxiens, à la suite de guerres et de conquêtes de la part de ces derniers.), avec un chat pour familier.
Un roublard humain sheliaxien (donc tensions dans l'équipe, on va devoir se supporter tant bien que mal) nommé Varil.
Azura, une druidesse demi-elfe qui recherche un remède pour une maladie, dont personne dans le village n'a entendu parler (Pour ce que mon personnage en sait, elle pourrait venir de très loin). Son familier est un puma.
Et enfin, le héros de cette anecdote, Rack Zarock, barde halfelin avec un accent italien(je ne sais pas de où par contre).
Le joueur de Varil étant absent, il n'apparaîtra pas dans cette histoire.
Après avoir repoussé une invasion de gobelins, nous profitions de notre victoire quand une fille (celle du propriétaire du bazar de la ville) fait des avances à peine dissimulées à notre cher Rack Zarock. Au passage, tous les membres de la troupe de théâtre de la ville (que Rack a rejoint avant l'attaque) lui sont passé dessus. Flairant un piège, il nous envoya un message discret (une compétence ou un sort, je suis pas très au courant des mécanismes du jeu) pour qu'on le suive au cas où il y aurait un problème. Arrivé dans la place, je place mon chat en faction, en lui demandant de faire son rapport en cas de problème. D'après son rapport (par communication d'émotion, mais avec 20 en intelligence, Desba a très vite fait le calcul), Rack Zarock a fait son affaire, et attiré par le bruit, le papa est descendu, furax. Rack Zarock, dans son plus simple appareil, a alors pris son ocarina, et, par une représentation (le papa a raté son jet de sauvegarde de volonté), a fasciné le papa, qui s'est assis et a applaudi. Il a ramassé ses affaires, et est ensuite parti, pour retrouver Desba qui était par terre à force de rire (et à reçu le contenu d'une cruche d'eau pour la peine, sous la fausse assomption qu'elle était ivre, alors qu'elle était la seule à n'avoir pas bu). J'étais aussi mort de rire que mon personnage.