histoires de rôlistes pour le jeu : Z-Corp

Dilemme Moral

2 semaines après le début de l'épidémie dans la petite ville de Sparkleville, Iowa, 3000 habitants. Autour de la table d'un repas de Thanksgiving un père, sa fille et deux amis. Quelque chose de normal non ?

Ce repas est troublé par l'arrivée dans le jardin d'un homme étrange, titubant, qui entre dans le jardin familiale. Vraiment zarb le mec avec ses yeux dans le vide, son envie de manger le bras du père et sa joue en moins. Et si on ajoute à ça le bruit et l'odeur ...

Le voisinage est extrêmement calme, les évènements qui se déroulent dans le Kansas où de nombreuses villes sont envahis par des non-morts qui dévorent leurs concitoyens ne sont encore que des rumeurs. Les personnages ne savent rien et voient des voisins se faire agresser devant leurs fenêtres, des scènes sanglantes, d'anciens amis croisés dans la rue.

C'est alors qu'entre par la porte de derrière un homme paniqué, mordu. Il a de la fièvre, des courbatures. La fille qui fait des études de médecine diagnostique une sur-infection à un agent pathogène inconnu.


4 personne, 1 homme qui agonise et commence une crise de paranoïa et une décision à prendre : que faire ? Sachant que la situation empire à chaque minutes qui passent et que des hommes bizarres commencent à enfoncer la porte de derrière ...

La technique de la station-service

Je pense qu'il y a une chose intéressante aux Etats-Unis, c'est que tout est fait pour la voiture. Les banlieues sont grandes et parsemées de zones industrielles et de stations services.

Je remarque que de plus en plus, une fois sur la route, mes joueurs ont une tendance nette à aller se ravitailler dans les stations services. Je n'ai jamais compris pourquoi. Juste que ces endroits sont parfaits pour des pièges en tout genre : horde de morts-vivants, bandits, pillards, survivants retranchés avec un infecté. Une autoroute, une sortie pour une zone industrielle et n'importe quel scénario s'applique.

Et quand ils ont survécu de justesse, de retour sur l'autoroute, ils réfléchissent à peine quand ils voient la sortie suivante.